Bad mood
Hier je vous aurais bien écrit sur ce qui se passait à Martigné mais j’ai eu un petit coup de mou, le post n’aurait pas été folichon. Remarque aujourd’hui, ce n’est guère mieux.
D’abord je suis un peu fatiguée de mettre 3/4 d’heure à aller bosser (et parfois plus pour revenir le soir – notamment tous les vendredis). Ici, comme partout ailleurs, nous entamons la période “travaux publics”. Notre Conseil Général s’imagine que personne ne bosse pendant l’été et décide de faire des travaux partout, en même temps. Résultat : ce matin j’ai mis plus d’une heure à venir, 20 minutes à passer le dernier rond-point qui est en travaux… à la sortie de la rocade… ça c’est bien vu, merci le Conseil Général. Bref, voilà pour l’aspect bison futé de ma vie qui commence à me saouler un peu.
Ensuite, hier mon boss m’a appris qu’il allait renouveler ma période d’essai. Bon, c’est pas comme si je ne m’y attendais pas : les deux projets sur lesquels je devais démarrer sont annulés, la crise ma bonne dame, la crise. Mais quand même, ça a fait son petit effet sur mon moral. Donc, comme “on ne peut pas tester mes aptitudes en gestion de projet” (sic), on va se tester mutuellement jusqu’au 3 octobre. Ce qui me fait le plus mal au … c’est ça : ça fait juste 14 ans que j’en gère des projets :) Quand je vous parlais d’un retour à la case départ…
Voilà de quelle humeur je suis. Rien de grave, juste une énième introspection en cours.
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Ouais, je comprends tout à fait…
J’avais un super parking pour moi toute seule devant la maison… Maintenant j’ai plein d’engins à la con qui font du bruit depuis 15 jours et font un vrai bordel devant ma porte… groumph…
Vive The BAD MOOD !
Mais sinon, je crois que c’est la conjoncture qui veut cette période d’introspection: Pourquoi-je ? mais pourquoi-je ? Et comment-je ? C’est surtout ca le plus dire à trouver : comment-je ???
Eh oui c’est la grande période des engins de BTP… Léo est tout content de voir des tracteurs et des pelleteuses partout.
Pour l’introspection, je ne pense pas que ce soit la conjoncture. Chez moi c’est endémique.