Septembre en attendant
Salut la gang !
Enfin un moment pour venir mettre un petit mot. Dans cette vie à 200 à l’heure, c’est mon petit temps d’introspection, mon comptage de petits cailloux blancs…
Les vacances d’abord. Courtes mais reposantes; c’est simple on n’a rien fait. Pas de voyage à planifier, pas de sous à sortir (tant mieux je n’en ai plus), pas de bagages à faire et défaire (tant mieux la machine à laver est cassée) à part quelques t-shirts et maillots de bain, pas de train à prendre, rien. C’était court, mais bon.
Le retour au boulot est difficile forcément vu que je suis déjà partie dans ma tête et qu’eux ne veulent pas me lâcher avant le… 24 septembre ! Mais je suis déjà investie à fond dans la Cantine. Mes déjeuners sont tous pris soit pour rencontrer les gens avec qui je vais travailler, soit pour des réunions de travail sur l’aménagement, les financements, le planning, etc.
Le soir j’ai aussi du boulot, sur Backlight, ce merveilleux projet que je vous invite à rejoindre et à soutenir, en parlant de nous et en disant à quel point nous sommes merveilleux et combien l’idée est bonne et que vous mourrez d’impatience de l’acheter quand il sortira. Si si. :)
Sinon, avec AgileBreizh, nous travaillons à l’organisation de l’Agile Tour (7 octobre à Rennes). J’aurais l’honneur de présenter, avec le très talentueux Philippe Ensarguet (qui peint des aliens), un atelier pour apprendre l’art de la rétrospective agile (atelier pour lequel je me suis niquée le pouce en découpant pendant 3 heures des fiches en carton).
Côté kids, Noa a fait sa rentrée avec un maître, barbu sympathique dont c’est vraisemblablement la dernière année d’enseignement et qui joue de la guitare et emmène ses élèves faire du kayak. On peut dire donc que c’est bien parti :), même si ce matin, second jour d’école, nous étions en retard. Hem.
Léo lui est admis en 3e année de crèche et a lui aussi une guitare… rouge évidemment.
Enfin, juste parce que c’est beau comme le ciel ces jours-ci, voici Septembre en attendant (Noir Désir, 666.667 club, 1996)
Juste le temps de battre des cils,
Un souffle, un éclat bleu,
Un instant, qui dit mieux
L’équilibre est fragileJ’ai tout vu, Je n’ai rien retenu
Pendant que ton ombre
En douce te quitte
Entends-tu les autres qui se battent
A la périphérieEt même si tes yeux
Dissolvent des commètes
Qui me passent une à une
Au travers de la têteJ’y pense encore, J’y pense
A cette époque on n’écoutait qu’à peine
Le clic-cloc des pendules
A l’heure où je te parle
Sans entraves … il circuleEn septembre, en attendant la suite
Des carnages il se peut, qu’arrive la limiteJ’y pense encore, J’y pense
Ensemble, maintenant
On peut prendre la fuite
Disparus, pfffuit
Avant qu’ils aient fait oufJ’y pense encore, J’y pense
J’y pense encore, J’y pense
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Et bien, espérons que ces couchers du soleil peuvent t’apaiser un peu avant que tu nous exploses en plein vol. Faut que tu m’expliques quand même un jour comment tu fais tous ça ! Quel est ton remède magique ? Coka 0 ? La devise allemande à associer à ta photo : In der Ruhe liegt die Kraft. Allez, ton allemand est assez bien pour comprendre !!! Biz :-)
P.S. Il est 22h51 et je te vois encore en ligne, dans 9 mins c’est dodo !!
Mon allemand est aussi nul que Google translator qui me dit “En fait la force de paix”. J’en déduis un truc du style “Dans le repos est la force”.
Et dans l’early rising aussi (que j’ai loupé depuis 2 jours)
Le secret c’est d’éviter la perfection.
Just do it. Juste fais-le diraient ces cons chez Google :)
je ne m’y reconnais plus dans ton site Karine. au secourrrrrrrrrrrr.Je viens de trouver ce post de septembre tout à fait par hasard.Tu as changé la présentation ou c’est mon ordi qui cafouille?